Les Samoa en mode diesel
Pour leur entrée dans la compétition, les hommes de Steve Jackson n’ont pas fait dans le détail. Poussifs en début de match, ils ont tout de même su l’emporter avec le bonus offensif sur la pelouse du Kumagaya Rugby Stadium.
longtemps malmenée pendant les quarante premières minutes, la formation samoane a mis du temps à démontrer son véritable niveau. Supérieure sur le papier, l’équipe du Pacifique a été trop indisciplinée dans le premier acte pour espérer se détacher des valeureux Russes.
Après avoir ouvert le Mondial face au Japon, les Russes ont profité des deux cartons jaunes reçus par leurs adversaires, Lee-Lo, auteur d’un plaquage haut, et le talonneur Matu’u qui écope du second. Devant à la pause (6-5), les coéquipiers d’Artemyev entrevoient une possible première victoire de leur histoire en Coupe du monde.
Plus précis dans les courses, les passes, le jeu est beaucoup mieux organisé grâce au demi de mêlée remplaçant entrée à la pause Matavao. Au fil de la partie, les Russes sont dépassés et baissent peu à peu les armes, sûrement le contrecoup de leur match quatre jours auparavant face à l’équipe nippone.
La densité physique prend le dessus
Les Samoans posent leur empreintes sur ce match en imposant leur puissance et leur jeu musclé. Le dernier essai du match inscrit par Leiua tout en puissance, montre la fraîcheur et la dimension physique des Samoans, les Russes ne répondent plus. Malgré beaucoup de volonté, l’équipe de Lyn Jones s’incline face à la supériorité physique de leur adversaire du jour.
Vous êtes hors-jeu !
Cet article est réservé aux abonnés.
Profitez de notre offre pour lire la suite.
Abonnement SANS ENGAGEMENT à partir de
0,99€ le premier mois
Je m'abonne Déjà abonné(e) ? Connectez-vous
J'ai déjà un compte
Je me connecteSouhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?